vendredi 15 novembre 2013

Nourrir son Cerveau !

Notre cerveau, ce glouton !



Stress, coup de blues, manque de concentration… s'est là que votre cerveau n'est pas à la fête, pourquoi ne pas lui fournir une énergie adaptée ?
Notre alimentation influence nos performances intellectuelles et joue sur notre humeur !

Les relations entre nutrition et santé sont prises de plus en plus au sérieux par le corps médical, y compris dans les maladies graves comme le cancer. L'intégration de recommandations nutritionnelles dans le traitement de nombreuses maladies confirme donc le rôle déterminant de l'alimentation et supplémentation dans le fonctionnement général de l'organisme.La mémoire n'échappe pas à cette détermination alimentaire.




Pour bien fonctionner, notre cerveau a besoin de quarante éléments nutritionnels : 15 minéraux et oligo-éléments, 8 acides aminés, 13 vitamines et 4 acides gras.

Il consomme à lui seul 20 % de l'énergie fournie à l'organisme par notre alimentation si cette dernière est des plus équilibrée pour satisfaire ce glouton!

Nous ne sommes plus chasseurs-cueilleurs, mais consommateurs : les linéaires des grandes surfaces proposent autant de bonbons et de gâteaux que de fruits et légumes. Danger!

L’impact de ces évolutions est considérable et incontesté : on estime à 35 % la part des cancers liés à la nutrition – 50 % des cancers du sein, 70 % des cancers de la prostate. Ces chiffres sont inacceptables.

L’impact se manifeste aussi sous la forme des maladies cardiovasculaires, du vieillissement cérébral, du diabète, du surpoids et de l’obésité, mais aussi de troubles de l’humeur – dépression, burnout – et probablement de l’hyperactivité.



Pour comprendre ce que peut être une « neuro-nutrition », il faut comprendre le fonctionnement du cerveau. Ce dernier est l’un des organes du corps humain qui consomme le plus d’énergie. Il consomme en permanence du glucose, qui représente 25 % de la consommation totale et joue un rôle fondamental dans l’activité cognitive. Le cerveau est par ailleurs principalement composé de graisse, en particulier pour les membranes qui assurent les neurotransmissions. La graisse la plus représentée dans le cerveau est un oméga 3.

Le cerveau a également besoin de protéines et plus exactement du bon ratio entre protéines et sucres : les protéines servent à fabriquer les neurotransmetteurs et en particulier la dopamine. Il faut également des vitamines, notamment des folates, ainsi que des minéraux : le premier micronutriment du cerveau est le fer, qui intervient dans la biosynthèse et la fabrication des neurotransmetteurs. De même, le magnésium est l’alimentation de la cellule nerveuse. Nous avons également besoin de protecteurs contre l’oxydation : c’est le rôle des polyphénols et des antioxydants.





Le cerveau a besoin d’énergie, de glucose et d’oxygène. Il se sert également de protéines. Des éléments que l’on retrouve dans l’alimentation.
Le cerveau a toutefois deux spécificités. Il met du temps à se développer. Il est bien constitué vers l’âge de 15 ans. Il est ensuite victime du temps à partir de 50 ans. Ces deux périodes sont donc critiques. La grande question est finalement de savoir si la nutrition peut avoir un rôle à jouer à ces deux périodes de la vie. La seconde spécificité de cet organe est qu’il reste plus vulnérable qu’un organe comme le cœur.

Les antioxydants sont une bonne piste pour la maladie d’Alzheimer. Pour lutter contre cette maladie, il faut également surveiller son apport en graisses. Les graisses insaturées sont meilleures que les saturées. Et il semble utile de prendre suffisamment d’oméga-3.

Mais le cerveau est une machinerie complexe. Il y a plusieurs étapes entre le moment où l’on avale quelque chose et l’action dans la tête. De plus en plus, des études montrent qu'une supplémentation intelligente et équilibrante augmentent très largement les connections cognitives.


Voyez comment la recherche médicale internationale affine ses connaissances en nutrition du cerveau à ce jour. Cliquez ci-dessous.










Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire